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11 mars 2018 7 11 /03 /mars /2018 17:07

Barbara Cassin, Heinz Wismann, et Thomas Benatouïl.

Blog le chêne parlant

 


Pourquoi apprendre le grec ou le latin ? 

Qu'apporte cette pratique ?

Parfois, une langue nous est trop proche – trop affective - pour qu’on puisse en savourer l’entière étendue, pour pouvoir en apprécier les dimensions gustatives ou en goûter l’entière richesse. L’approche d’une culture différente met à distance, ouvre de nouveaux horizons conceptuels, démultiplie les rapports aux sens, accroît les équivoques.

Or, justement, le grec est une langue vraiment autre, explique la philologue Barbara Cassin. La philosophe a d’ailleurs eu le bonheur de pouvoir travailler avec des enfants psychotiques. L’enseignante a pu mesurer l’effet – étonnant, voire détonnant - produit par cette étude sur ces derniers. Une véritable révélation. Un choc. L’apprentissage d’une altérité. Les élèves, en mesurant les écarts, en observant les dissonances présentes au niveau des discours,  en soulignant les équivalences de vocabulaire ou les synonymes, ont mieux saisi le sens et les particularismes de leur propre langue.

Vendredi 17 novembre 2017

Barbara Cassin, Heinz Wismann, et Thomas Benatouïl.

Merci à tous trois de vos aimables accords.

 

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Conférence entière :

 

 


Galerie Photo : 17 novembre 2017

 

 

 

 

 

 

 
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11 mars 2018 7 11 /03 /mars /2018 17:05


Maxime Decout - 27 septembre 2017- Médiathèque du Vieux Lille

Blog Le chêne parlant

 

L’imitation, au fil des générations, a perdu ses lettres de noblesse. Autrefois considérée comme une étape de formation quasi obligatoire - notamment dans le domaine de l’Art où copier des heures durant des modèles de chair ou de papier constituait le passage obligé des  candidats à l’Académie - elle fait aujourd’hui l’objet de reproches, de méfiance, voire d’un rejet définitif.  Au reste, les contours de l’imitation sont très imprécis. Les confusions entre la simple allusion,  la citation, l'influence et le pastiche sont encore nombreuses.

Souvent assimilée à la reproduction du même, à la répétition d’un identique au geste prêt, au millième de la lettre, cette dernière est devenue suspecte, puis, peu à peu, s’est couverte sinon d’opprobre, au moins de mépris.

Sartre, évoque Maxime Decout, méprise ces écrivains sentant l'alcool. Nathalie Sarraute critique vertement Paul Valéry.

 De même, à l’école, ne cesse-t-on de fulminer contre l’imitation. « Arrête de regarder sur ton voisin. Élabore tes propres hypothèses.» évoque avec une régularité quasi métronomique l’enseignant pratiquant les sciences. « Madame, il triche sur moi. » remarque non moins fréquemment l’élève travaillant pourtant en groupe.  Nous le voyons, l’imitation souffre d’abord d’un amalgame redoutable, celui de sa confusion avec la copie. Laquelle étant vue comme répétition, reprise en miroir, décalque pavlovien de ce qui est comme il est, paraît être une activité stupide et stérile. Pire, à l’absence manifeste de réflexion s’ajoute le sentiment honteux de ne penser qu’au travers de l’autre, d’exister grâce à autrui, de n’avoir aucun point de vue personnel, bref, de penser par procuration. S’en suit un procès sans appel où insidieusement, l’appropriation neutre glisse vers le chapardage, la prise d’information vaut cambriolage de la propriété intellectuelle et toute tentative de comprendre de quoi il retourne frôle le vol aggravé en plagiats organisés. 

 


Comment défendre la pratique du pillage et de la tricherie ? Comment  considérer  l’imitation en tant qu’allier pédagogique ? Comment la valoriser comme méthode d’apprentissage ?

Dans ces conditions, peut-on encore décemment mettre en avant ses avantages ?

Dès lors, ne vaut-il pas mieux cacher, masquer, camoufler son emploi ? N’est-il point préférable d’en nier l’existence ?

Ainsi, mal vue, dévalorisée, bien que présente à de nombreux niveaux d’apprentissage, cette dernière conserve-t-elle – lorsqu’on l’exerce - une note négative ou passe-t-elle invariablement à la trappe.

Pourtant, qu’en est-il vraiment ?

Ne peut-on créer en copiant ? Ne faut-il impérativement construire avant de déconstruire ? Ne doit-on s’exercer, s’exercer et s’exercer encore ? Pratiquer toujours, jusqu’à en perdre patience, jusqu’à atteindre la parfaite maîtrise de chaque ligne, le moindre trait – en matière de dessin -, jusqu’à connaître la plus imperceptible note en matière musicale, en gros,  pour le dire autrement,  s’approprier des techniques et méthodes avant que de se lancer dans le mouvement de la création et de passer aux multiples improvisations ?

Autrement dit, faut-il bannir l’imitation ou en louer l’usage comme l’indique le philosophe Alain dans ses Propos sur l’éducation  ? Ne serait-ce point là le moyen d'entrer dans "une famille littéraire" ? William Shakespeare ne s'en est pas privé. En ce cas, où situer l’originalité d’une activité, finalement, très ancienne ?

 

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Galerie photos

 

 

Maxime Decout - 27 septembre 2017- Médiathèque du Vieux Lille

 

 

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11 mars 2018 7 11 /03 /mars /2018 16:43

 

Il faut savoir regarder. Savourer d’un œil patient un paysage apparemment aride afin d’en percevoir les nuances. Observer l’insignifiant, et, peut-être à la manière du philosophe Vladimir Jankélévitch, restituer le prix de l’a-peine perceptible.

Dans un livre poético-personnel, L'esthétique du Pôle Nord, le philosophe Michel Onfray parvient admirablement à faire sentir la nudité complexe du Nord aride.

Première partie :

 

Tout au long du sol aux nuances rocailleuses, découverte de l’abrupt. Y aurait-il une leçon du minéral ?

Peut-être... Au moins, sans conteste, une profusion d’intensités. C’est-à-dire des nuances où le vide est plein de contrastes, où les pierres s’empilent en cairns de symboles. Tout au bout du froid et du rêche,  tout au fond des gerçures profondes où les mains crissent lors du mouvement  des doigts, il y a la douleur, bien sûr – évidement - mais aussi le chant et la glace, là où des blocs d’énergie féroce craquent aux poussées de l’instant.

 

 

 

Éloge du regard posé sur l’insignifiant : La valeur d’un silence, la présence solide et  physique d’un père que l’on voudrait éternel.  Et ce parcours, oui, ce parcours, bien sûr d’un extérieur extrêmement intérieur, au bord des infimes signifiants.                                               

Deuxième partie :

 

Critique à l’égard des dominations de tous poils, la colonisation des esprits. Place à une histoire de déportation révoltante où le déplacement massif des populations dans des villages factices, a fait perdre aux individus tout lien avec l’esprit des lieux, interdit toute poursuite du gibier au fil des saisons, où le massacre en meutes des chiens devenus inutiles a laissé le goût amer des âmes égorgées sur l’autel de la nécessité.

 

Retour sur une colonisation ayant débuté au 19ème siècle, avec l’arrivée des Frères Moraves. Et surtout, l’apprentissage d’une écriture imposée par l’autre. « L’alphabet chrétien ouvre la porte à la colonisation… ».  Fini, donc, l’apprentissage construit dans un temps long. S’articulant dans un savoir ancestral, se diffusant doucement, tout en parole acétique.

 Dans cette modernité, pas de pensée nomade : l’économie n’est ni de richesse intérieure ni en adéquation avec la lente maturation du paysage mais d’avoir et de calcul.

La population sédentarisée doit se plier, se courber, chanceler sous les injonctions dominatrices :

Se mouler dans une école importée en bloc, une vision occidentale, celle de la rapidité où il s’agit de suivre un programme imposé au sein d’un emploi du temps rigide. Même l’apprentissage devient un lieu de calcul. Le philosophe développe ce point dans La communauté philosophique où – explique-t-il -  les coefficients attribués aux différentes disciplines – du moins en France -  orientent les choix des élèves vers les matières les plus « rentables ».

 

Mais ici, dans ce lieu sans offre d’emploi, quoi de rentable ? Quel apprentissage ? Quoi faire une fois son diplôme en main ou en poche ? Lieu perdu où il se trouvera plié en quatre, désormais.

Quel choix ? Si ce n’est celui de l’attente. Du vide.  Comment ne pas se noyer d’alcool ? Comment s’en sortir ? Quels engagements du corps et de l’âme ? Quelle émancipation ? Quel sentiment d’appartenance ? Quel « humus des ancêtres » ?, pour reprendre une formule chapardée dans Le recours aux forêts

Le philosophe a « l’âme d’une pleine  cargaison de révolte. »

                     

 On comprend.

 

 

Cairn - Sicile 2017

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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 06:31


 

                   

    

 

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    Fabrice Midal et Martin Legros 3 septembre 2017- Les rencontres inattendues Tournai                        

                     

Se faire plaisir.

                                            Vivre - enfin.

    

      Nous pensons tous la chose aisée tant la technique nous facilite la vie. Devons-nous nous rendre à Strasbourg, innutrition culturelle oblige, que nous voici trois heures plus loin, présents aux rencontres des Bibliothèques Idéales, satisfaits de noter d’une main alerte les échanges formulés avec doigté.

     Retour le lendemain. A l’identique. Ou presque. Carnet griffonné de paroles harponnées au flot des pensées.  Carte vidéo chargée de quelques trésors. Retenir. Partager. Ne pas perdre, vous dites-vous en relisant vos notes dans le TGV. Ecrire. Restituer l’essentiel. Ou au moins l’important, et ce, le mieux possible. Se jeter à train perdu dans l’écriture. En retenant son souffle. Peut-être en oubliant de respirer. Sûrement en omettant de tourner la tête vers la fenêtre. Négligeant les perles d’eau.  Aveugles aux cascades du sentir glissant le long des vitres… Etrange comme  la pluie court à l’horizontale quand les gouttes sont poussées par la vitesse du train.

     Pris, dans les injonctions quotidiennes de tout ce que l’on doit faire, au vrai, nous avions égaré cet autre impératif. Cette autre nécessité du « Quand commence-t-on à vivre ? », du « Quand s’autorise-t-on à être ? », ou encore du « Comment vivre ici et maintenant ? ». Heureusement, le philosophe Fabrice Midal réinterroge l’existence tout en nous invitant à voir avec l’œil de l’expérience. 

     

     Parce qu’expliquer, c’est déplier, le philosophe spécialiste de la méditation essaye de lire le monde, de l’analyser, d’en discerner non seulement les dictatures – chose somme toute assez courante -  mais, mieux, d’analyser nos auto-tyrannies.

Car contrairement aux idées reçues qui nous voudraient assujettis par autrui, nous sommes assez vaillants pour briser la paix de nos consciences, marteler nos fers  et  tordre les lignes de nos journées jusqu’à la torture. Self-made-mal de nos petites entreprises, nos auto-exploitations à forte valeur d’anxiété peuvent conquérir sans fin le territoire de nos enfers et aller assez loin dans nos capacités d’enfermement… A la maison, nous désirons recevoir les invités avec tant de soin que l’on s’en oublie soi-même. En voyage, l’injonction de vacances performantes, visiter le maximum d’endroits en un temps minimum pousse quasiment le vacancier au bord du burnout. Au travail, prisonniers, nous voilà rongés par l’injonction paradoxale de faire beaucoup en faisant mieux. Le journaliste, dans un activisme sans fin, rédige des articles où l’exigence de rapidité doit allier un objectif de perfection rendant la plume intranquille et l’esprit crispé sur le carbone de ses propres feuillets.

Plus particulièrement, Fabrice Midal analyse patiemment les intoxications au monoxyde du faire-mieux, accidents de pression, obligations maximales, courses aux impossibles, ces retours sur rentabilité, gestions es inhumanité et autres performances sans fond qui obscurcissent la vie jusqu’au black-out et compriment l’existence.

      Entrer dans le caisson de décompression afin de relâcher les tissus du soi, libérer l’oxygène du bien-être n’est pas si simple. Aussi s’agit-il, par l’intermédiaire – notamment - de la méditation, de s’autoriser à être en accord avec le monde, d’enlever la pression.

« Foutez-vous la paix », autrement dit : « Faites-vous plaisir ».  Laissez-vous être.

         Faites preuve de « Désinvolture » sans vous moquer de tout pour autant.

                      Simplement, toucher les battements de l’être.

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Vidéo des rencontres inattendues de Tournai

 

 

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Vidéo des Bibliothèques idéales - Strasbourg - le 16 septembre 2017

 

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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 06:25

Syracuse -  Sicile juillet 2017

Entre Montaigne et Alexandre Jollien, un point commun : celui de célébrer la pensée.

Les compères ne se laissent pas duper par des raccourcis, s’opposent aux lois classiques, et - telles les perruches à collier Houdini - s’évadent des cages où l’on veut les confiner. Ces impertinents parlent même de gaieté de penser, de pur plaisir de philosopher, et – pleins de prétentions futiles  – se payent le culot de bifurquer des chemins tracés.

Escapade dans l’univers de la réflexion…

Alexandre Jollien, par l’écriture de l’« Éloge de la faiblesse, La construction de soi. Le métier d'homme. Le philosophe nu. » a brisé sur l’enclume du réel la validité des tests passés. 

L’agrégé de philosophie non seulement s’est extirpé de l’avenir médiocre qu’on lui avait prédit « Moi, vu mon état physique, révèle Alexandre Jollien dans son premier livre intitulé « Eloge de la faiblesse », on avait projeté que je roule des cigares, c'était à peu près tout ce qui était disponible... » mais le penseur a fait émerger un énorme malaise.

Que voulez-vous, il est des êtres singuliers.

Comment, en effet, cet homme - a priori comme les autres - a-t-il pu se soustraire à la conjuration des évaluations ? Comment a-t-il pu s’extirper de cette dictature qui vous éduque, vous enferme, vous encadre, vous enseigne : « Je sais qui tu es. »  «  Je vais te dire qui tu es. »

Comment, devant la poignée d’individus imposant aux autres la seule façon de réfléchir, et face à la masse de ceux cédant à leurs injonctions, a-t-il pu opposer un troisième type de personnalité ?   

Une espèce Irritante - donc infiniment précieuse – celle des hommes rétifs aux prescriptions tyranniques.

Retour sur histoire :

Suite à une motricité affectée par un cordon ombilical enroulé autour du cou lors de la naissance, des spécialistes soucieux du devenir du jeune Alexandre Jollien, firent passer à l’enfant toute une batterie de tests. Procédure classique. Evaluations ordinaires consistant à cerner l’intelligence à coups d’exercices. La chose va très vite : on allie la réponse « normée » à la vitesse du chronomètre. Après un rapide calcul, on obtient un nombre impossible à falsifier : résultat de  règles implacables car mathématiques, ce coefficient - mis en regard de la moyenne de tous les tests pratiqués sur un échantillon représentatif d’une population donnée - est tout à fait fiable.

Ordinairement, ces mesures agissent sur l’esprit comme un charme d’effroi : laissent le sujet, là, planté, à observer le résultat, à le scruter, à l’étudier, à le méditer ad infinitum. Leur objectivité garantit avec évidence les limites intellectuelles ou le « haut potentiel » de l’individu expertisé. Leurs conclusions sont un principe, une évidence, un ordre, si puissants qu’il semble impensable de les remettre en cause. Il en résulte une impossibilité de s’y soustraire. La donnée numérique, se fait la hauteur, devient physique vous empêche de vous redresser, de vous dresser, tant et si bien que la pensée elle-même s’y fracasse le nez.

 « La tentation devant une personne handicapée – dénonce l’intellectuel - c'est de l'enfermer dans une catégorie.»

Fort heureusement, Alexandre Jollien n’a pas voulu se réduire à la position qu’on lui avait assignée. Le philosophe s’est refusé  à admettre ce qu’on lui avait prouvé.

Non seulement - signe peu ordinaire – ce dernier a refusé de s’adonner au  roulage des cigares – activité sympa où il est possible de travailler tout en papotant – mais a eu l’outrecuidance d’oser penser avec insistance.

A la force de son expérience, l’écrivain nous invite à dépasser les barrières dressées entre la normalité et l’anormalité. 

 «… à dépasser le premier regard qui passe à côté de l'essentiel, bien souvent. »  à « sortir des préjugés » à opérer « une conversion du regard. » [1]

A nous réformer.

                       Et, espérons-le, à devenir ce que l’on n’est pas.

 

 

 

 Syracuse -  Sicile juillet 2017

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Article écrit pour le magazine en ligne Slow-Classes :

 

 

 


 

 

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http://www.europe1.fr/emissions/integrale-qui-vive/qui-vive-comment-faire-de-necessite-vertu-2923691

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Présentation

  • : Le chêne parlant
  • : L'éclectisme au service de la pédagogie & L'art de suivre les chemins buissonniers. Blogue de Virginie Chrétien chrétien. Maître formatrice en lien avec l'ESPE de Lille. Rédactrice chez Slow Classes. Partenariat : philosophie Magazine. Écrivaine : La 6ème extinction - Virginie Oak.
  • Contact

Introduction.

L’éducation, dans son étymologie même, c’est : «Educere, ex-ducere, c’est conduire « hors de » rappelle le philosophe Henri Pena-Ruiz dans Le Philosophoire. Charles Coutel parle quant à lui d'[Educarea] ēdŭcāre ‘prendre soin de l’ignorance de l’élève’. "Le rôle de l’éducation - dit-il - c’est de me disposer à mon humanité en moi grâce à mon instruction." Ecoutons George Sand… « Mes pensées avaient pris ce cours, et je ne m'apercevais pas que cette confiance dans l'éducabilité de l'homme était fortifiée en moi par des influences extérieures. » George Sand, La mare au diable, Folio Classique, 892, P 37. Ce blogue se propose de partager des outils pédagogiques, des moments d'expériences, des savoirs, des lectures, de transmettre des informations relatives à la pédagogie ordinaire et spécialisée, des idées d’activités dans les classes allant du CP au CM2 en passant par la CLIS. Enfin, on y trouvera aussi quelques pensées plus personnelles. « Notre savoir est toujours provisoire, il n'a pas de fin. Ce n'est pas l'âge qui est le facteur déterminant de nos conceptions ; le nombre de « rencontres » que nous avons eues avec tel ou tel savoir l'est davantage, ainsi que la qualité de l'aide que nous avons eues pour les interpréter... » Britt-Mari Barth, le savoir en construction. ________________________________________________________________________________________________ 1 Le Philosophoire, L’éducation, n° 33, P16 2 P 52, Britt-Mari Barth – Le savoir en construction – Retz – Paris – 2004 – Isbn : 978725622347

Contributions et Partenariats.

Contributions gracieuses : Magazine Slow-classes. Numéro 1 Faire Mouche en géométrie et 2. Le moulinet à vent : mettre des mathématiques dans les voiles. ....... SLOW CLASSES : Slow Classes __________________________________________ Partenariat gracieux Philosophie Magazine. Philomag ________________________________________

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