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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 13:56

L’Art serait-il une reproduction ? Une idée ? Une combinaison de couleurs ? Une imitation ? Une abstraction ? Une œuvre originale issue d’un être singulier ?

Nous le voyons, nous avons beau penser de l’Art - gratter à sang notre questionnement épidermique - nous nous agaçons d’entendre des définitions aussi parcellaires qu’insatisfaisantes.
Heureusement, des acrobates de la pensée – plus virtuoses que d’autres, faut croire - pénètrent dans l’arène des idées et parviennent à mettre un peu d’ordre dans ce cirque de propositions. L’équilibriste es art, Jacqueline Lichtenstein 1* par exemple, mais également le philosophe Régis Debray dont la pensée de haute voltige fait le régal de tout questionneur émerveillé. A nous de saisir le trapèze original lancé à travers l’espace des conventions à géométrie plate. Que nous dit-il ? « L’art, c’est du beau fait exprès »*2.
La proposition interpelle.                        
Du fait exprès – l’objection de la photographie étant balayée par l’intentionnalité de la prise de vue -, la chose est entendue. Quant au beau, naturellement, il s’agit ici de la catégorie kantienne du beau… d’une « finalité sans fin », celle procurant une « satisfaction désintéressée ».   Car évidemment, en matière d’art contemporain la laideur rivalisant de médiocrité -,  retenir ce critère aurait pu paraître contestable. C’est pour cette ambiguïté de la langue que nous l’écarterons.
 « Du fait exprès »…  Bien. Retenons. Mais dans quel but ? Pour quoi faire ? … Montrer… Offrir ?...
Oui, c’est cela…  Donner.
« Du fait exprès pour donner à voir  » L’idée semble étrange. Pourtant sa proximité avec le « donner à penser » philosophique n’est pas inintéressante.  
L’Art – avec grand A, SVP – ne serait-il pas, en effet, ce qui ajoute, accroît, augmente ?
Pour preuve, piquons au fil du hasard deux exemples, celui d’une barre de béton d’un côté et de l’autre celui d’une œuvre de Sonia Delaunay. Comparons. L’essentiel distinguant les deux œuvres ne réside-t-il pas justement dans l’expression de chacune ? Autrement dit, dans le contenu de leurs propositions ?
Face à l’évidence – une fois n’est pas coutume - nul besoin de réfléchir ad vitam aeternam. Constat : la première ne représente qu’elle-même, proposition certes solide, mais quelque peu – avouons-le - monolithique et lourde. La seconde est couleurs, formes, profondeur, semble donc douée quant à elle, d’angles de vue à géométries multiples. Nous entrons là dans le monde courbe de la physique  des multitudes … : une sorte d’univers hyper-dimensionnel.
Nous le voyons, tout comme l’infime translation de sens provoque l’écart qui interpelle, du regard en biais émerge la pensée qui arrête.
Aussi, de la même manière, en s’exprimant sur les photographies atypiques de Gilbert Garcin, le physicien Etienne Klein, donne-t-il à voir une matière qui nous échappe… Plus qu’une interprétation décalée, la densité des savoirs propres au monde de la physique apporte une vision* étonnante. Un éclairage détonant…  Un autre langage, un ajout, un enrichissement, en ce qu’une lecture ordinaire – la nôtre, c’est-à-dire exempte de paramètres scientifiques –  en est incapable et donc, face aux photomontages demeure muette.
L’artiste serait-il alors un traducteur de monde ?
             De la lecture infinie d’un paysage, en tout cas, surgit l’intérêt du flâneur.     

Petite balade, donc, en langue des sciences…
 

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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 13:51

Que faire, interroge le philosophe Bernard Stiegler,  quand, d’ici peu, les formes d’emploi que nous avons connues n’existeront plus ? Quand 30% des emplois disparaîtront au profit des robots ? Quand les compétences humaines seront passées dans la machine, que restera-t-il au travailleur pour prouver qu’il est employable ?
C’est une barbarie de détruire les systèmes sociaux, n’hésite pas à dénoncer le philosophe engagé au sein de plusieurs projets et associations. 1*
Face à l’entropie qui décompose la société de toute part. Face aux savoir-vivre détruits. Face à une espérance de vie décrite par Amartya Sen, prix Nobel d’économie, paradoxalement plus élevée au Bengladesh qu’à Harlem, tant le consumérisme a détruit le tissu social et les capacités des habitants d’une ville, c'est-à-dire les savoirs.
Face aux informations balancées sur la toile à 200 millions de mètres par secondes - soit deux fois plus rapidement que la foudre, précise-t-il, laquelle ne tombe qu’à 100 millions de mètres par seconde. Il faut – poursuit-il, créer de la néguentropie : c’est-à-dire de la culture et du rêve. Il faut pouvoir exister dans un monde qui n’a pas besoin de vous. Redistribuer. Instituer un revenu, à la manière des intermittents du spectacle.  
En d’autres termes, réintroduire de la responsabilité et lutter contre la barbarie. Croître au sens de l’étymologie grecque, phusis, du verbe  "Phusein", c’est l’origine de la physique. C’est ce qui fait que le monde se transforme, est dynamique… C’est l’harmonia.
Nous nous devons de construire un nouveau pacte social. Entrer dans une économie de la contribution, celle de la « capacitation », consistant à reconstituer les capacités de chacun. Autrement dit, passer au néguentropocène.
Le philosophe Pascal Chabot, enfonce le clou. Le progrès utile, celui de la mesure instantanée, n’est pas le progrès subtil, nuance-t-il. Or apprendre, douter, creuser, aller plus loin dans la pensée sont des processus souterrains. Leurs bénéfices s’apprécient à long terme, se détermine sur un temps long. Nous ne sommes pas dans la même temporalité.   
Mais des initiatives existent, encore s’agit-il de « Faire monter l’intelligence collective au niveau du politique. » 

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2*
https://sites.google.com/site/etymologielatingrec/home/p/physique-la
"Physique" vient du verbe Grec, "φυω" ("phuo", dont l'infinitif est "φυειν" "phuein", source Merriam Webster) signifiant croitre, générer.
Ce mot Grec "Phuein" est lui-même dérivé de la source indo européenne "bheu"[4], qui signifie "croître", "être".
En sankrit "bhu" signifie la terre, où croissent les cultures [5] comme opposé au ciel [6]

Cette racine donnera le grec "pheo", ou le verbe grec "phuomai[7]" ou"fuomai" ("φυομαι"[8]) ou encore "phusis" qui a le sens du "souffle", de "la vie". Son équivalent est la racine indo européenne antérieure "bhu" [9] signifiant "croitre", "être"

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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 10:58
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant
Youssef Seddick - Bernard Stiegler   Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant

Youssef Seddick - Bernard Stiegler Les rencontres inattendues de Tournai - le 30-08-15 Photo Virginie - Le Chêne parlant

Comment pratiquer les nombres, autrement dit la musique, la poésie, de manière à ce que ces derniers soient innombrables, c’est-dire dépassent le calcul et deviennent incalculables ?

La musique produit de la néguentropie, explique le philosophe Bernard Stiegler, lors des rencontres inattendues de Tournai, le 30 août 2015, c’est-à-dire quelque chose d’absolument inattendu.

 

Car il s’agit d’éviter les raccourcis, poursuit Bernard Stiegler. Autrement dit, les données – les rétentions - laissées sur les Smartphones, et récupérées par les vendeurs d’objets. Ces derniers nous télécommandant, nous imposant nos désirs. Guidant nos volontés. Canalisant  nos protentions – nos achats, nous faisant croire qu’il s’agit des nôtres. 

Le dernier stade de la barbarie.

Oui, de la barbarie, car le système prive les individus de leur désir, de leur capacité de vouloir, d’analyser, de s’exprimer. Ca les amène à devenir des bombes vivantes.

La musique doit sauver le monde.  Parce qu’elle est l’Art des protentions. 1* Elle produit de l’attente collectivement. A travers elle, on peut faire faire des choses aux gens, raison  pourquoi elle est usitée dans les églises, à l’armée… La musique peut évidemment, bien sûr, produire le pire mais aussi le meilleur.

Elle crée une transformation. Une méditation. Il y a une pharmacologie de la musique.

 

Nous devons nous en emparer.

Croire en l’improbable. Et ça, c’est un vrai universel.

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11 août 2016 4 11 /08 /août /2016 12:03
Mathieu Potte-Bonneville- Photo Virginie le Chêne parlant

Mathieu Potte-Bonneville- Photo Virginie le Chêne parlant

Face aux urgences vitales, aux nécessités quotidiennes, aux difficultés de tous les jours, la culture fait pâle figure. Au mieux paraît-elle inintéressante, au pire superflue et dispendieuse.  Comment, en effet, défendre l’inutile face à l’écrasante logique des arguments économiques ? Comment raisonner  sur la nécessaire préservation du patrimoine lorsqu’on n’a aucune idée de ce que l’on va manger le soir même ?
  Pourtant, étrangement, nous rappelle avec brio le philosophe Mathieux Potte-Bonneville lors d’une série d’émissions enregistrées par France Culture, le samedi  4 juin 2016, au centre Georges Pompidou, étrangement, donc, les régimes non démocratiques, loin de la délaisser au profit des besoins de première nécessité, s’y intéressent de près. Contre toute attente, ces derniers lui accordent même une belle énergie quand bien même fut-elle...  celle de la destruction, de la suppression et de l’anéantissement
Comment, dès lors, comprendre cet acharnement ? Comment entendre le fracas des burins pressés, le boucan des pioches et des marteaux féroces ? Ne serait-ce point là le bruit d’une composition assourdissante ?  Ne serait-ce point le fruit d’une volonté, celle de vouloir réduire la culture au silence ?


               
Faire disparaître coûte que coûte ce que l’on décrète inintéressant, n’est-il pas le signe justement de sa valeur ? 

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 17:18
Etienne Klein - Ce que la physique dirait du temps - 21-10-15 - Photo  - le chêne parlant

Etienne Klein - Ce que la physique dirait du temps - 21-10-15 - Photo - le chêne parlant

Ce partage est gracieux, aussi Le Chêne Parlant a-t-il migré sur une plateforme soucieuse d'un partage de culture désintéressé et dénué de publicité. Vous trouverez ce dernier en cliquant sur les lignes.

 

En partenariat avec Slow Classes.

"Toucher le réel." entretien avec Etienne Klein et Virginie, le chêne parlant.



"Toucher le réel." entretien avec Etienne Klein et Virginie, le chêne parlant.
De l’Art dans la science ou de la science dans l’art ?
Si les relations entre Art et science sont distinctes, des passerelles - et pas des moindres - existent bel et bien entre entre les deux disciplines.
Merci à Etienne Klein de ces réponses claires et éclairantes.

 

Pour accéderbà l'article et à la vidéo, cliquer sur la ligne.

et ici : http://lecheneparlant.blogspot.fr/2016/01/quel-est-le-vrai-reel-rencontre-avec.html

 Etienne Klein - Ce que la physique dirait du temps - 21-10-15 - Photo  - le chêne parlant

Etienne Klein - Ce que la physique dirait du temps - 21-10-15 - Photo - le chêne parlant

"La solidité de la science" entretien avec Etienne Klein, par Virginie Le Chêne parlant, vidéo 2/4.
Vidéo 2 sur 4 : La solidité de la science, entre science et recherche.
Etienne Klein : Lorsqu’on fait un calcul en physique quantique, ou en physique des particules, on se place dans un espace mathématique abstrait. On n’est pas dans un espace physique à 3 dimensions. Dans ces espaces abstraits, on fait des calculs permettant de dire quel sera le résultat d’une mesure si on fait telle expérience. On fait ce calcul, on a un résultat. Ensuite on fait l’expérience dans le réel physique. Et on trouve un résultat identique…  D’où vient cet accord ? … Les équations des physiciens, pour des raisons qu’on ne sait pas forcément expliquer, permettent de toucher le réel. Sinon il faudrait invoquer un miracle pour chaque succès, un miracle à chaque fois qu’un résultat coïncide avec le calcul, à chaque fois qu’une prédiction est confirmée par des mesures expérimentales. Or, il y a tellement de miracles, impossibles à assumer tous, qu’on est bien obligé de constater l’efficacité des équations. Elles touchent le réel. C’est ce qui permet d’échapper au relativisme. En cela, la science n’est pas une connaissance comme les autres.  Elle démontre sa capacité à toucher le réel à chaque fois que cela se produit. Et ça se produit toujours puisque la physique quantique n’a jamais été démentie par un fait expérimental,   ni la relativité générale d’Einstein. Pour l’instant, ce sont des théories qui n’ont jamais été contredites par les faits… Chaque accord observé produit une  sorte d’émotion. Quand on a eu la preuve que le boson de Higgs existait, les scientifiques qui étaient aux manettes de l’expérience ont éprouvé une émotion absolument incroyable. Donc l’émotion n’est pas l’apanage des artistes. L’objectivité n’est pas l’apanage des scientifiques. Mais ce constat ne suffit pas à dire que la science et l’Art, c’est la même chose.

 

24 Octobre 2015 - L'instant zéro -1-photo - Virginie le Chêne parlant-6

24 Octobre 2015 - L'instant zéro -1-photo - Virginie le Chêne parlant-6

"Art et science, des sèves différentes ?" rencontre avec Etienne Klein par le Chêne parlant. 3/4
Vidéo 3 : Art et science, des sèves différentes ?
Merci à Etienne Klein d’avoir accepté de répondre aux questions du Chêne.


Etienne Klein : C’est  à mettre cela à l’honneur de l’esprit humain que d’être capable de penser contre son cerveau. Penser contre soi-même.
Virginie : C’est expliquer le monde par l’impossible.
Etienne Klein : Exactement. La phrase de Koyré que je cite très souvent : « Faire de la physique, c’est faire le pari d’expliquer le réel par l’impossible. » Les lois physiques peuvent complètement surprendre notre intuition.
Virginie : C’est peut-être ce qui sépare la science de l’Art. Il y a moins cette capacité d’impossibilité dans l’Art.
Etienne Klein : Il n’y a pas en art le critère de l’expérience, le critère du test. Le critère, c’est celui du marché. Si on veut vendre, il s’agit de répondre aux critères du marché. Les plus grands génies de la peinture ont souvent eu des mémoires posthumes. Les critères du moment où ils peignaient n’étaient pas ceux qui pouvaient les reconnaitre, repérer leur génie.

 

24 Octobre 2015 - L'instant zéro -1-photo - Virginie le Chêne parlant - 3

24 Octobre 2015 - L'instant zéro -1-photo - Virginie le Chêne parlant - 3

Quel est le vrai réel ? rencontre avec Etienne Klein par Le Chêne parlant - 4/4
Vidéo 4/4  : Quel est le vrai réel ?


Etienne Klein : Gilbert Garcin a fait des photomontages avec son épouse. Il semble mettre en scène différentes pistes théoriques explorées par les physiciens qui veulent unifier la physique quantique et la relativité générale. Avec des espaces-temps… Il est fasciné par le réel. Le vrai réel masqué  par nos vies, par les artifices qu’on y met, par les chatoiements de l’expérience qui peuvent nous tromper sur la noirceur du monde. Il y a un peu d’absurde. Il est fascinant de voir à quel point un artiste peut avoir des pressentiments qui rejoignent ce que les formalismes les plus abstraits tentent de mettre en scène.

 

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Présentation

  • : Le chêne parlant
  • : L'éclectisme au service de la pédagogie & L'art de suivre les chemins buissonniers. Blogue de Virginie Chrétien chrétien. Maître formatrice en lien avec l'ESPE de Lille. Rédactrice chez Slow Classes. Partenariat : philosophie Magazine. Écrivaine : La 6ème extinction - Virginie Oak.
  • Contact

Introduction.

L’éducation, dans son étymologie même, c’est : «Educere, ex-ducere, c’est conduire « hors de » rappelle le philosophe Henri Pena-Ruiz dans Le Philosophoire. Charles Coutel parle quant à lui d'[Educarea] ēdŭcāre ‘prendre soin de l’ignorance de l’élève’. "Le rôle de l’éducation - dit-il - c’est de me disposer à mon humanité en moi grâce à mon instruction." Ecoutons George Sand… « Mes pensées avaient pris ce cours, et je ne m'apercevais pas que cette confiance dans l'éducabilité de l'homme était fortifiée en moi par des influences extérieures. » George Sand, La mare au diable, Folio Classique, 892, P 37. Ce blogue se propose de partager des outils pédagogiques, des moments d'expériences, des savoirs, des lectures, de transmettre des informations relatives à la pédagogie ordinaire et spécialisée, des idées d’activités dans les classes allant du CP au CM2 en passant par la CLIS. Enfin, on y trouvera aussi quelques pensées plus personnelles. « Notre savoir est toujours provisoire, il n'a pas de fin. Ce n'est pas l'âge qui est le facteur déterminant de nos conceptions ; le nombre de « rencontres » que nous avons eues avec tel ou tel savoir l'est davantage, ainsi que la qualité de l'aide que nous avons eues pour les interpréter... » Britt-Mari Barth, le savoir en construction. ________________________________________________________________________________________________ 1 Le Philosophoire, L’éducation, n° 33, P16 2 P 52, Britt-Mari Barth – Le savoir en construction – Retz – Paris – 2004 – Isbn : 978725622347

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